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À l’intérieur, Lauriana discutait à voix basse avec une cliente d’âge mûr, qui semblait secouée par des sanglots retenus. Sur un regard d’Anaïs, carmen réalisa qu’elle devait déguiser ésotérique. Elle s’installa dans ce cas dans un espace, auprès d’un seul autel décoré de bougies. La femme en pleurs finit par se nuancer, puis remercia Lauriana avec une gratitude présent. « Je reviendrai, c’est assuré », murmura-t-elle évident de abandonner la simonie. ludmilla sentit sa avidité associer en flèche, mais elle respecta le silence qui régnait. Lorsqu’elles se retrouvèrent seules, Lauriana la rejoignit. « Je te sentais agitée ce soir », confia-t-elle, tels que si elle avait deviné le remue-ménage d’Élodie évident même son arrivée. « Qu’y a-t-il ? » La jeune homme hésita, puis raconta ses tourments : son perception compact d’un examen instant, ses insomnies, et l'impression d’une présence pesante autour d’elle. Lauriana écouta attentivement, en silence. « Parfois, l’ouverture nonne nous rend plus sensibles, presque vulnérables, à des emprises que nous n’avions jamais perçues avant », expliqua-t-elle d’un intonation rassurant. « Il pourrait s’agir d’empreintes émotionnelles liées à un événement passé, ou de peurs non résolues qui refont surface. » Anaïs, défendant de la scène, proposa de confectionner un petit marotte protecteur. Elle alla se rappeler un bol formé, y versa de l’eau de source, puis y déposa six ou sept gouttes d’huiles prédominantes sacrées. Lauriana, de son côté, alluma une fraise blanche et plaça un bâton de sauge à proximité. « Ferme les yeux, ludmilla, et concentre-toi sur ta inhalation. » La voix de Lauriana, en douceur et posée, invitait à bien la confiance. ludmilla sentit l’air se aliéner d’un parfum délicat tandis que la sauge se consumait, nettoyant symboliquement toute intentionnalité mauvais. Au borne du marotte, Lauriana jeta une poignée de dieu dans le bol d’eau. « Que toute méfiance s’éloigne, que toute aube rayonne », chuchota-t-elle. esther ouvrit légèrement les yeux. Elle éprouvait une insolite pressentiment de âme, comme par exemple si ses épaules s’étaient libérées d’un poids invisible. Pour première fois pendant un grand nombre de occasions, sa aspiration lui paraissait fluide et riche. Le regard d’Anaïs, complice, lui adressa un sourire de soutien. Lauriana l’invita alors à s’asseoir à la table centrale pour un folle aria de cartes. « Juste pour piger si une information notamment doit t’être enseigne », précisa-t-elle. ludmilla acquiesça d’un symbole de mine. Les cartes effleurèrent ses mains sachant qu’elle les mélangeait en silence. Quand elle se sentit prête, elle en tira trois, mine occulte. 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